Lorsque l’on commence à écrire à des fins de publication, cette question peut se poser à vous. Quels sont les raisons d’utiliser un nom d’emprunt ? À ma connaissance, elles sont de deux sortes. La première étant de préserver son anonymat, l’autre de vouloir se créer une deuxième identité.
Il existe des situations où l’auteur(e) peut se sentir en danger en publiant sous son véritable nom. Prenons le cas de la dénonciation d’actes illégaux ou violents par le biais de son livre apportant alors un témoignage en tant que victime (activités illicites au sein d’une société par exemple).
Dans un cas tout à fait différent, opter pour un nom de plume est aussi la possibilité d’éditer des textes dans un nouveau style. Certains auteurs le font dans l’objectif de tester un nouveau public.
Pour ma part, j’ai écrit une première nouvelle sous un pseudonyme. Je n’avais pas envie de révéler mon nom lors de la publication à ce moment là. Puis, je me suis rendue compte que j’éprouvais le besoin de le faire. Je remplaçais alors le pseudonyme utilisé pour ma nouvelle par un de mes noms de famille.
Ajouter des metadonnées
Les délais de réponse des maisons d’édition sont très longs. Ce qui a ses inconvénients et ses avantages. L’attente nourrit l’inquiétude mais c’est aussi le bon moment pour communiquer sur son travail, se former à de nouvelles compétences et explorer les différentes pistes d’un futur livre. Pour ma part, c’est ce que je fait actuellement.
Pendant le process créatif, j’aime bien croiser les arts. Jouer de la musique ou/et dessiner me permet de revenir à l’écriture de mon livre. Cette semaine, j’ai scanner des dessins et appris à intégrer des métadonnées dans le fichier. J’ai pensé que partager cette astuce avec vous, pourrait vous servir également.
Les métadonnées permettent d’ajouter des informations à une image (titre, nom de l’auteur, année, droits etc.). Si vous souhaitez le faire, il vous faudra utiliser un logiciel photo. Pour ma part, j’ai choisi GIMP. Si vous souhaitez ajouter des métadonnées, ouvrez l’image avec le logiciel, puis, cliquez sur image dans le menu. Ensuite choisissez ajouter des métadonnées et enregistrer.
Bêta lecteurs
Voici quelques nouvelles.
Le 30 décembre, j’ai terminé le premier brouillon de ma nouvelle fiction. Il m’a fallu 1 an pour la réaliser. Dans un premier temps, j’ai choisi une idée qui me plaisait puis j’ai effectuer des recherches historiques dont je n’ai pas conservé beaucoup d’éléments mais qui ont contribué à nourrir mon inspiration pour bâtir l’intrigue.
Une fois, le premier brouillon terminé, j’ai demandé à des bêta lecteurs (-trices) leur avis. Ce qui me prit une à deux semaines. Il est important de leur laisser suffisamment de temps pour lire et répondre aux questions posées.
Lorsque cette étape fut terminée, j’ai lu les retours avec attention et pris en considération toutes les critiques constructives. Ce qui a nécessité bien évidement, que je corrige mon premier brouillon. Parmi les remarques, certaines qui étaient un peu trop intrusives ou qui empiétaient un peu trop sur la direction que je souhaitais faire prendre au livre, n’ont pas été retenues.
Dans quelques jours, j’enverrais mon livre à plusieurs maisons d’édition. Je vous mentirais en vous disant que je n’éprouve pas une certaine appréhension. Mais cela fait partie de ce projet.
Les suivis de modifications
En ce moment, je corrige le premier brouillon de mon nouveau livre. Bien sûr, j’aurais pu l’envoyer à une maison d’édition et attendre un retour. Mais avant de le faire, j’ai préféré relire pour ajouter quelques détails et apporter des améliorations. Si je vous parle de ce projet aujourd’hui, c’est parce que je me suis rendue compte qu’il existe une fonction sur les traitements de texte de type libre office qui permet de suivre vos modifications de versions. Vous pouvez revenir en arrière ou au contraire aller à la modification suivante. Garder un historique de toutes vos modifications est toujours intéressant. Ceci dit, en écrivant cet article je repense à une phrase entendue à la radio dernièrement. Il s’agissait de la fonction nécessaire de l’oubli. N’avons nous pas tendance à vouloir tout sauvegarder et classer avant même d’avoir vécu ces instants ? un peu comme si nous avions peur de perdre tous ces moments que nous capturons.
D’un point de vue historique, il est évident que de conserver les témoignages et tout autre document du passé est important. Par contre, ne pas accepter qu’il est impossible de tout garder intact me semble problématique. Il restera très certainement des traces de certains événements de notre existence mais pas de chaque instant, à titre personnel, je n’ai pas envisagé de passer une trop grande partie de mon temps à les répertorier. cela me donne l’impression de ne pas vivre pleinement.
Structurer un récit
Structurer un récit peut s’avérer très important à un moment donné de votre écriture. Parmi les outils que j’aime utiliser, la carte mentale est un logiciel utile. Sur linux, « view your mind » est facile à utiliser mais il en existe beaucoup d’autres y compris sur d’autres plateforme.
Hiérarchiser ses notes
Avez vous besoin de hiérarchiser vos notes ? il existe un logiciel développé pour linux et qui peut vous faciliter la tâche.
A titre personnel, je l’ai utilisé en complément de libre office. Il est vrai qu’à première vue, ce logiciel peut apparaître comme plus proche du développement informatique que de l’écriture. Mais il est bien plus simple qu’il n’y paraît.
Voici un lien vers cet outil.
Comment agrandir les paroles de sa chanson
Cet après midi, après avoir travaillé sur une de mes compositions à la guitare, j’ai converti le texte en e-pub afin de pouvoir l’agrandir sans qu’il soit pixeliser. Je peux l’emporter partout et surtout l’encre digitale est moins fatigante pour la vue. Puis, je l’ai installé sur ma liseuse. Désormais, je peux agrandir la taille de la police de ma chanson sans perte de qualité.
Si cela vous intéresse, voilà comment faire :
1. Rédigez vos paroles sur un traitement de texte (libre office etc.) puis enregistrez le fichier.
2. Utilisez la fonction exporter au format e-pub pour convertir votre fichier
3. Mettez le sur votre liseuse (le fichier est lisible aussi sur tablette, téléphone, ordinateur)