J’ai le plaisir de vous annoncer mon nouveau Masterclass. Sélectionné par le C.N.L, le 24 août 2022, des sessions sont encore disponibles pour le mois d’octobre et de novembre. Je vous donnerais prochainement des nouvelles au sujet de la future session 2023.
Pour en savoir plus sur le contenu du Masterclass rendez-vous sur cette page.
Le dimanche 22 mai aura lieu le salon du livre de Palau del Vidre (place de la mairie).
A 15h, je participerai à la table ronde autour de la nouvelle fantastique avec les autrices Catherine Barcelonne et Elisabet Guillot. A cette occasion, je dévoilerai certains de mes procédés d’écriture et nous évoquerons les différentes influences de ce style. Venez à notre rencontre pour une thématique passionnante.
Tout au long de la journée des activités vous seront proposées avec des intervenants et de nombreux écrivain(e)s. N’hésitez pas à venir les découvrir.
Le programme complet est ci dessous :
10h00 Ouverture du salon
10h30 Lecture d’extrait par Jean-Philippe Lapeyre
10h45 Lecture d’extrait par Thérèse Cau
11h00 Lecture d’extrait par Adrien Ballayre
11h30 Lecture d’extrait par Fabienne Clolus Pierre
11h45 Lecture d’extrait par Laetitia Bonnafos
14h00 Table ronde : « la création litteraire multifacette » avec l’intervention de Matthieu Urban, auteur et compositeur. Questions du public.
14h30 Table ronde : « la création artistique et la communication autour du livre » intervenants Jules Morice – addon, Emma Morice – amme gallery. Questions du public.
15h00 Table ronde : « la nouvelle fantastique » avec l’intervention des autrices Céline Valette Catherine Barcelonne, Elisabet Guillot. Questions du public.
15h30 Lecture d’extrait par Catherine Barcelonne
16h00 Lecture d’extrait par Christelle Assenat
16h30 Lecture d’extrait par Christian Dang
17h00 Lecture d’extrait par Gisèle Gonneau
17h30 Lecture d’extrait par Marité Kurtz
Coin enfant avec les créations Haikus filmées par les enfants de l’école Jules Verne.
18h00 Clôture
Le salon est organisé par la commune et l’association CAC 66.
—————————————————————————————–
Retour sur cet évènement :
Nous étions 35 auteurs / autrices et tout s’est bien déroulé. J’ai rencontré du public ainsi que d’autres professionnels. La table ronde sur la nouvelle fantastique a rencontré un certain succès. J’ai aimé travailler sur cette thématique avec Elisabet Guillot et Catherine Barcelonne et écouter les lectures des autres auteurs. Merci à tous et à toutes.
En tant que professionnelle, je réfléchis aux évolution de mon métier. Et, bien sûr je me pose toutes sortes de questions auxquelles j’essaye de trouver une solution. Ce n’est pas forcément la meilleure qui soit mais avoir une vision d’avenir permet d’anticiper.
Voici trois problématiques sur lesquelles nous devrions réfléchir :
l’accessibilité numérique
le recyclage du papier
les DRM
Je pense qu’en tant qu’auteure nous pouvons faciliter l’accessibilité en proposant des fichiers dont le contenu est structuré grâce à l’utilisation des feuilles de style. Les éditeurs et éditrices pourront ainsi continuer le processus d’accessibilité.
Concernant le recyclage du papier, il existe des labels qui sont plus conformes que d’autres, pareillement des encres végétales sont envisageables. Ceci dit, l’impression à la demande semble une alternative.
Enfin, les DRM ne me semblent pas favoriser la diffusion d’un livre pour le public. De même la multiplicité des formats selon un type particulier d’équipement restreint la lecture.
Lorsque l’on commence à écrire à des fins de publication, cette question peut se poser à vous. Quels sont les raisons d’utiliser un nom d’emprunt ? À ma connaissance, elles sont de deux sortes. La première étant de préserver son anonymat, l’autre de vouloir se créer une deuxième identité.
Il existe des situations où l’auteur(e) peut se sentir en danger en publiant sous son véritable nom. Prenons le cas de la dénonciation d’actes illégaux ou violents par le biais de son livre apportant alors un témoignage en tant que victime (activités illicites au sein d’une société par exemple).
Dans un cas tout à fait différent, opter pour un nom de plume est aussi la possibilité d’éditer des textes dans un nouveau style. Certains auteurs le font dans l’objectif de tester un nouveau public.
Pour ma part, j’ai écrit une première nouvelle sous un pseudonyme. Je n’avais pas envie de révéler mon nom lors de la publication à ce moment là. Puis, je me suis rendue compte que j’éprouvais le besoin de le faire. Je remplaçais alors le pseudonyme utilisé pour ma nouvelle par un de mes noms de famille.
Samedi 11, je me suis rendue à un salon du livre organisé aux jardins des plantes de Saint Cyprien. Cette fois ci, j’ai endossé le rôle d’une lectrice pour rendre visite à plusieurs auteurs et auteures. Cette expérience fut très enrichissante sur le plan professionnel et je les remercie. Certains m’ont expliqué pourquoi ils écrivaient, ce qu’ils aiment comme sujet, mais aussi ce qu’ils ou elles pensaient de l’organisation d’un salon. Pour ma part, je les ai écouté avec attention et à mon tour je me suis présentée et nos échanges furent intéressants.
Cette immersion en tant que lectrice m’a apporté un autre point de vue sur la profession d’écrivain. Partir à la rencontre d’autres artistes est aussi une façon de se préparer et de créer des opportunités de collaborations.
Structurer un récit peut s’avérer très important à un moment donné de votre écriture. Parmi les outils que j’aime utiliser, la carte mentale est un logiciel utile. Sur linux, « view your mind » est facile à utiliser mais il en existe beaucoup d’autres y compris sur d’autres plateforme.
Avez vous besoin de hiérarchiser vos notes ? il existe un logiciel développé pour linux et qui peut vous faciliter la tâche.
A titre personnel, je l’ai utilisé en complément de libre office. Il est vrai qu’à première vue, ce logiciel peut apparaître comme plus proche du développement informatique que de l’écriture. Mais il est bien plus simple qu’il n’y paraît.