Echanges de livres à travers le monde

Sur le site j’ai abordé à plusieurs reprises des thématiques différentes sur l’évolution de mon métier. Il y a l’écriture d’une part mais aussi l’environnement dans lequel il est amené à se mouvoir. Il y a quelques mois, j’ai obtenu un certificat suite au suivi d’un cours. Celui ci donne les grandes lignes sur les mesures à mettre en place pour une meilleure accessibilité des contenus et cela dans le cadre spécifique du livre accessible et de l’édition. Un grand ensemble de notions a été abordé de façon générale. Si vous vous questionnez  sur le sujet, le consortium de l’ABC vous apportera plus d’information.

Le saviez vous ? il existe un service mondial d’échange de livres.

Rencontre autour de l’édition en grands caractères

La rencontre autour de l’édition en grands caractères s’est déroulée en ligne le jeudi 28 mars 2024 sur le site d’Occitanie Livre et Lecture. Elle s’inscrit dans le cadre de la lecture pour tous. Cet événement rassemblait plusieurs professionnels autour d’un thème en lien avec l’accessibilité du livre.

J’ai participé à cette rencontre qui me semble intéressante pour les artistes voici un petit compte rendu à ce sujet. Les interventions de plusieurs participants dont une association de sensibilisation au handicap visuel et une maison d’édition spécialisée.

Une des informations les plus importantes pour la lecture de livre adapté concerne la police de caractère utilisée, sa taille et le fait qu’elle soit nécessairement sans serif. La mise en forme du texte (paragraphe, interlignage etc.)  est aussi essentielle. Une police de caractère a été développé suite à plusieurs études, luciole est disponible sur ce site internet.

 

 

 

Information et lien sur le Théâtre

Lorsque je travaille sur un projet artistique, j’effectue des recherches. Certaines sont en relation directe avec la phase créative et d’autres concernent la mise en place. Voici l’adresse vers une plateforme proposant des aides pour le spectacle vivant théâtral. Vous trouverez le lien ici.

Jouer avec le texte

Lorsque j’ai écrit Fantastic L.A, j’ai beaucoup joué avec les personnages et tous les objets qui servaient à résoudre l’énigme. Par exemple, les grilles de mots croisés. Tout en y réfléchissant, j’ai effectué quelques recherches et découvert l’origine des premiers mots croisés.Sur le document original, les définitions et une grille. Au centre le mot : fun (joie en français).

Avec les définitions du document original que vous trouverez en lien à la fin de mon billet, j’ai écrit ce petit poème.

Que devrions nous être tous ?

Un rêve éveillé, un pigeon, une partie du bateau

Que devraient faire les artistes ?

Opposés à moins, échangeant au pluriel

Liens : article sur Arthur Wynne

Les lieux d’écriture

Tous les auteurs ont leurs habitudes d’écriture. Certains aiment écrire au calme dans leur maison, d’autres dans un parc ou tout autre lieu qui les inspire. Pour ma part, j’aime écrire dans mon bureau et de temps en temps dans un autre lieu. C’est comme une sorte d’exercice qui me permet de m’apprendre à m’adapter à des conditions d’écriture différentes. Je me rends des fois dans un salon de thé dont la décoration d’objets me fascine. Il me faut alors un petit temps d’adaptation pour me reconcentrer. Le type d’écriture est different de celui de mon bureau. Je vous invite à essayer de changer vos habitudes juste pour essayer un autre cadre d’écriture.

 

P.S : j’adore le café au salon entre parenthèse 🙂

Utiliser ses sens

Très souvent, c’est notre sens visuel qui est le plus sollicité. En ce qui me concerne, j’aime de temps en temps faire l’expérience suivante lors d’une promenade : je regarde et décris le paysage. Il s’agit d’un champ où le foin a été coupé, tout autour des arbres et dans le ciel des oiseaux.. Puis je ferme les yeux et écoute. J’entends leur chant, le bruit d’un véhicule au loin, le souffle du vent.
Ensuite, je ressens sur ma peau une brise fraîche qui me donne la chair de poule.
Maintenant, je sens les multiple odeurs tout autour.
Puis je touche un brin d’herbe. Ce qui me pose le plus de difficulté est l’utilisation du goût alors je bois un peu d’eau que j’ai apporté à vélo.
Pour améliorer la description d’un texte, j’aime effectuer cet exercice. Il est possible pour n’importe quel chapitre ou scène.

Pseudonyme ou pas ?

Lorsque l’on commence à écrire à des fins de publication, cette question peut se poser à vous. Quels sont les raisons d’utiliser un nom d’emprunt ? À ma connaissance, elles sont de deux sortes. La première étant de préserver son anonymat, l’autre de vouloir se créer une deuxième identité.
Il existe des situations où l’auteur(e) peut se sentir en danger en publiant sous son véritable nom. Prenons le cas de la dénonciation d’actes illégaux ou violents par le biais de son livre apportant alors un témoignage en tant que victime (activités illicites au sein d’une société par exemple).
Dans un cas tout à fait différent, opter pour un nom de plume est aussi la possibilité d’éditer des textes dans un nouveau style. Certains auteurs le font dans l’objectif de tester un nouveau public.
Pour ma part, j’ai écrit une première nouvelle sous un pseudonyme. Je n’avais pas envie de révéler mon nom lors de la publication à ce moment là. Puis, je me suis rendue compte que j’éprouvais le besoin de le faire. Je remplaçais alors le pseudonyme utilisé pour ma nouvelle par un de mes noms de famille.

Ajouter des metadonnées

Les délais de réponse des maisons d’édition sont très longs. Ce qui a ses inconvénients et ses avantages. L’attente nourrit l’inquiétude mais c’est aussi le bon moment pour communiquer sur son travail, se former à de nouvelles compétences et explorer les différentes pistes d’un futur livre. Pour ma part, c’est ce que je fait actuellement.
Pendant le process créatif, j’aime bien croiser les arts. Jouer de la musique ou/et dessiner me permet de revenir à l’écriture de mon livre. Cette semaine, j’ai scanner des dessins et appris à intégrer des métadonnées dans le fichier. J’ai pensé que partager cette astuce avec vous, pourrait vous servir également.

Les métadonnées permettent d’ajouter des informations à une image (titre, nom de l’auteur, année, droits etc.). Si vous souhaitez le faire, il vous faudra utiliser un logiciel photo. Pour ma part, j’ai choisi GIMP. Si vous souhaitez ajouter des métadonnées, ouvrez l’image avec le logiciel, puis, cliquez sur image dans le menu. Ensuite choisissez ajouter des métadonnées et enregistrer.